Dans son Dictionnaire du marseillais, l'Académie de Marseille n'a pas rechigné à introduire le mot vier. Bien entendu, il s'agit là d'un terme populaire dont l'usage en public (on parle bien du mot) est un outrage aux bonnes moeurs. On devrait même écrire « v... », mais comme c'est dans le dictionnaire...

En revanche, l'Académie a refusé d'enrichir sa définition de la célèbre expression marseillaise:

« Mon vier! Madame Olivier... »

Qui est donc cette Madame Olivier qui indispose encore plus nos érudits que le vier lui-même? N'est-elle qu'une grosse « cagolasse » aux moeurs douteuses, ou bien une Marseillaise authentique dont l'absence dans le Dictionnaire du marseillaise est une insulte à la culture populaire locale?

Le procès en réhabilitation intenté par les deux enfants de Madame Olivier va nous permettre d'en savoir plus, et surtout de connaître la position (préférée) de chacun.

Les Tchapacans.

Livret dirigé par Michel Sanz

Co-écrit par: Gilbert « Tonton » Donzel, Médéric Gasquet-Cyrus, Michel Jacquet, André de Rocca, Michel Sanz, Serge Scotto.

Illustrations: Elcé

www.editionslecailler.com

A l'heure où Marseille prétend se hisser au rang de capitale européenne, le temps est venu de lui trouver l'emblème approprié, qui viendra orner la croix azur sur fond argent des armes traditionnelles de la Ville.

Quel est le vrai symbole de Marseille ? La sardine ? Eculée. Le pastis ? Siroté. La bouillabaisse ? Frelatée. La mer ? Polluée. L'OM ? Irrégulier.

Une évidence s'impose : le vrai symbole de Marseille, celui qui unit l'Homme à son élément, qui garde trace de la culture maritime ancestrale de la Cité, qui traduit l'ingéniosité mais aussi le légendaire ses de la galéjade du Marseillais, ce symbole céleste, c'est l'esque !

Avec le texte inédit du Professeur Nardo Vicente.

 Editions Le Fioupélan
www.lefioupelan.com


Article dans le Magazine Accent

Découvrez un des grands mystères de la Vie avec les Stoges.

En vitro ou en vivo, la Nature nous réserve de belles surprises à la naissance...

Et pourtant, la rencontre d'un spermatozoïde et d'un ovule n'est pas de tout repos...

La preuve en image !

http://les.stoges.over-blog.com 

Hélas, il arrive que des intrus viennent bouleverser la Grande Histoire de la Vie...

Une seule solution : sortez couvert !!!

Dessiner une fresque de 7,00 mètres de long sur 1,60 mètres de hauteur est un délice !

A la suite d'une commande pour un fast-food express « NADO » Canebière à Marseille, le dessinateur Red! Et moi avons réalisé dans un premier temps une série de croquis selon les souhaits du restaurateur.

Le thème: représenter la Cité Phocéenne en y mélant les clichés tourisques tels que Notre Dame de la Garde, le Vieux-Port et ses pêcheurs, la partie de cartes de Pagnol, le Château d'If, le Vallon des Auffes, la galéjade autour d'une partie de pétanque, le tramway et bien évidemment le Football, dans un style humoristique.

Le mur ayant été préparé à l'avance par le commanditaire, le bon pour accord signé, il ne nous restait plus qu'à nous lancer dans la grande aventure !

Chacun de son côté, Red!, Carôle et moi cernons au crayon les contours du projet sur la partie murale.

La mise en couleurs peut commencer.

Les premières couleurs posées sont fluides comme une aquarelle. Elles font ressortir l'ambiance générale de la fresque.

Le restaurateur vient chaque jour voir l'évolution du projet et s'étonne de la rapidité de notre travail.

Les aplats entrent en scène. Les techniques graphiques se mélangent donnant une osmose intéressante dans le rendu.

La fresque prend forme d'heure en heure et de jour en jour.

Les couleurs éclatent.

Nous fignolons les petits détails en jouant avec les teintes d'ombre et de lumière.

Le projet sur papier est sur le mur maintenant !

Il nous reste plus qu'un cerné noir et le tour est joué !

La durée de ce travail commun: quatre jours !

Pour en savoir plus: http://www.mariuspivoine.com/pages_cache/annonce_fresco/fresque.htm

600 ans avant Jésus-Christ, la Provence était colonisée de peuplades ligures vivant tranquillement d'agriculture, de cueillette et de guerres de clan.

La Méditerranée leur offrait pêches, invasions et commerces au gré des vents et selon la volonté des Dieux.

Un jour, un marin grec nommé Protis décida d'établir un relais commercial dans une crique où un chef de village celte mariait sa fille, Gyptis.

L'Histoire aurait pu s'arrêter là si deux minots marseillais, Bruno & Bertrand, accompagné de Sirocco le perroquet n'avaient pas été téléportés par le Fantôme de Planier pour y mettre le oaï...

www.planier.fr